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Cette année, à l’occasion de la journée européenne des victimes du 22 février, France Victimes a souhaité mettre l’accent sur une communication plurielle, tout au long de la semaine, afin, à la fois, de renforcer la visibilité du réseau des associations France Victimes, mais aussi de valoriser les actions en place et de mettre en avant certaines positions ou projets d’avenir.

Ainsi, 2 Tribunes ont pu être publiées :

Une tribune au « Monde » a été publiée, intitulée « L’aide aux victimes est l’ultime pierre à ajouter pour solidifier une Union européenne unie et indivisible », co-signée par Maryse Le Men, présidente de la fédération France Victimes, et Jérôme Moreau, porte-parole de France Victimes et Vice-Président de Victim Support Europe. 

Sur ce sujet, on constate que les droits des victimes sont encore inégaux en fonction des États, et que seule l’aide aux victimes, reste universelle et accessible à tous. 

Il est impératif que les victimes en Europe soient dotées d’un corpus légal égalitaire.

C’est en ce sens que le concept innovant de « safe justice » voit le jour. 

À l’occasion de la journée européenne des victimes 2023, l’ambition des associations européennes d’aide aux victimes est d’implémenter ce concept destiné à éviter toute victimisation secondaire au cours des procédures pénales, et réaliser du mieux possible, un accompagnement bientraitant des victimes. L’Europe, dans toutes ses dimensions, doit jouer ce rôle de protection des victimes en imposant structurellement et légalement, dans tous les pays, de nouveaux dispositifs.

Ainsi, France Victimes et Victim Support Europe ont déjà mené plusieurs projets dans cette perspective, tels que :

D’autres dispositifs doivent aussi être connus comme la plateforme Mémo de Vie, ou le 116 006.

L’aide aux victimes est l’ultime pierre à ajouter pour solidifier une Union européenne unie et indivisible.

Lire l'article ici.

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Par ailleurs, Jérôme Moreau, Vice-Président de la fédération France Victimes, répondait dans une interview pour l’Humanité sur « Comment prévenir et faire reculer le harcèlement scolaire  ? ». 

Il met en lumière le programme de lutte contre le harcèlement scolaire pHaRe qui doit être amplifié et développé auprès des lycées et des mouvements d’éducation populaire. Il indique aussi que des solutions existent et que pour ce faire, il faut libérer la parole des victimes, être plus vigilant sur les réseaux et renverser le sentiment de culpabilité.

Retrouvez l’article ici.

Enfin, il est important de rappeler que les 130 associations France Victimes en métropole et outre-mer sont là pour accompagner, écouter et orienter toutes les personnes victimes, mineures et majeures. Elles proposent un accompagnement psychologique, juridique et social. 

 

Plusieurs posts ont été diffusés sur les réseaux sociaux de la fédération France Victimes, tout au long de la semaine afin de rappeler les outils, les actions du réseau France Victimes et également les numéros utiles : 

Tout au long de la semaine, plusieurs posts sur les comptes Linkedin, Instagram, Facebook et Twitter de la fédération France Victimes ont été publiés afin de rappeler les outils, les actions du réseau France Victimes et également les numéros utiles. Ainsi 9 posts ont été publiés : 

- [Supports de communication France Victimes] 

[Actions du Réseau France Victimes pour la Journée Européenne des Victimes]

[France Victimes, c’est quoi ?]

[Victime : Comment être aidé.e ? - Les associations France Victimes]

[Extension du Partenariat Paris-Saclay], pour en savoir plus, vous pouvez lire l'article dédié ici.

- [Mémo de Vie et ses nouveautés] 

[Parcours Victimes : 2 ans de lancement]

[Journée Européenne des Victimes]

[InfoVictimes.fr]

N'hésitez pas à vous abonner afin de suivre l'actualité de France Victimes ! 

 

Retrouvez également toutes les actions du Réseau, ainsi que les outils, numéros utiles et autres dans notre article dédié à la journée européenne des victimes 2023 ici !

 

France Victimes et les associations PAV et AVIMEJ FV 77 ont participé au lancement du dispositif PAMIVI

Lire notre article dédié ici.


 

À l’occasion de la journée européenne des victimes, le Garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti s’est rendu à la Cour d’Appel de Paris, afin de sensibiliser aux enjeux de la prise en charge mineurs victimes et de faire connaître les dispositifs d’aide mis en place par le ministère de la Justice.

À cette fin, le ministre a lancé l’expérimentation d’un Programme d’Accompagnement des MIneurs VIctimes (dit PAMIVI), avec 10 juridictions pilotes ayant déjà mis en place l’essentiel de ce programme, en particulier la découverte de la salle avant audience : il s’agit d’Alençon, Bourg en Bresse, Caen, Grenoble, Montauban, Orléans, Paris, Pau, Rodez et Strasbourg. 

Le PAMIVI sera élargi à une juridiction par cour d’appel en 2023, avant d’envisager en 2024 une généralisation sur tout le territoire national.

Ce dispositif permet d’assurer que les victimes mineures bénéficient d’un accompagnement adapté à leurs vulnérabilités tout au long du processus pénal, en se déclinant en trois temps : avant, pendant et après l’audience, en lien direct avec les associations d’aide aux victimes.

France Victimes se réjouit du lancement de ce PAMIVI qui implique le Réseau des associations d’aide aux victimes sur l’ensemble du territoire. 

Dans ce cadre, la Fédération met notamment à disposition des mineurs, dès avant l’audience, le livret « Mon parcours de Justice », pour les aider à trouver leur chemin dans les méandres de la justice et à s'approprier au mieux leur histoire. Le mineur va apprendre à reconnaître qui sont les professionnels qu’il rencontre sur son parcours, et également, par des jeux et des illustrations, il pourra mieux comprendre qui fait quoi, acteurs du monde judiciaire, professionnels du soin, associations d'aide aux victimes, et le fonctionnement de la justice.

Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer sur le communiqué de presse ici. 


 

La Fédération France Victimes a été invitée à l’avant-première du film “Je verrai toujours vos visages” réalisé par Jeanne Herry, réalisatrice du film “Pupille”, avec en casting Adèle Exarchopoulos, Dali Benssalah, Leila Bekhti, Gilles Lelouche etc.

Partenaire du film, il met en lumière le fonctionnement de la Justice Restaurative à travers deux histoires, la rencontre entre des personnes victimes et auteurs encadrés par des professionnels, et l’histoire plus personnelle d’une victime de viol incestueux.

Sur leur parcours, il y a de la colère et de l’espoir, des silences et des mots, des alliances et des déchirements, des prises de conscience et de la confiance retrouvée… Et au bout du chemin, parfois, la réparation.

Il sort au cinéma le 29 mars 2023, n'attendez plus et découvrez la bande-annonce ici.

Des avant-premières ont lieu les 26 et 28 mars prochains ; vous trouverez les lieux ci-dessous : n’hésitez pas à vous y rendre et à diffuser l’information !

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Découvrez enfin le  pdf dossier spécial (4.75 MB) qui apporte un éclairage précieux sur le film, sur la justice restaurative et sur la contribution de France Victimes.

Pour rappel, afin d’aider les personnes qui s’estiment victimes de violences, les associations France Victimes informent sur les droits, soutiennent psychologiquement et accompagnent socialement. Tous ces services pour les victimes sont gratuits, confidentiels et dans la durée. D’autres formes d’aides peuvent exister, comme les groupes de paroles entre victimes, l’art-thérapie, la socio-esthétique… France Victimes considère la justice restaurative comme une modalité à part entière d’aide aux personnes victimes, en marge de la procédure, et même quand il n’y en a pas.


 

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Le SolNum Tour de la Fondation : la Fondation Afnic se déplace en Région

Les appels à projets de la Fondation Afnic 2023 vont ouvrir prochainement. 

La Fondation Afnic pour la solidarité numérique organise le SOLNUM TOUR pour rencontrer des structures et des porteurs de projets du territoire, échanger sur leurs projets numériques au service des publics vulnérables et présenter les appels à projets 2023.

Vous êtes une structure d'intérêt général à but non lucratif et vous avez un projet pour une société numérique plus équitable ?

Venez nous rejoindre de 13h30 à 16h30 à :

  • DIJON : le 20 février dans les locaux de la Coursive - inscription ici
  • TOURS : le 28 février dans les locaux de WAZA Coworking Tours -  inscription ici
  • PARIS : le 7 mars dans les locaux de Les Amarres - inscription ici
  • CAEN : le 21 mars dans les locaux du Dôme - inscription ici
  • TOULOUSE : le 28 mars dans les locaux de La Mêlée - inscription ici

Déroulé de la rencontre :

13h30- 14h00 : Accueil café

14h00-16h00 :  Découverte de la Fondation et du territoire d'accueil

  • Présentation de la Fondation Afnic et ses appels à projets 2023
  • Rencontres de projets de votre territoire lauréats de la Fondation Afnic
  • Échange sur vos projets et les dynamiques locales

16h00-16h30 : Temps convivial pour poursuivre la rencontre autour d'un café

Pour rappel : date des prochains appels à projets de la Fondation Afnic

  • Appel à projets “Le numérique au service d'une société plus équitable” : du 1er mars au 12 mai 2023
  • Appel à projets pour des ateliers numériques : du 14 février au 25 septembre 2023(deux vagues de sélection : les 17 avril et 25 septembre 2023)

Si vous ne pouvez pas les rejoindre… ou si vous avez encore quelques interrogations quant à l'éligibilité de votre projet, n'hésitez pas à participer aux diverses visioconférences proposées (dates et liens sur le site de la Fondation, sur les réseaux sociaux ou sur demande à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).


Le 10 février 2023, a eu lieu au ministère de la Justice la signature d’une convention nationale relative au déploiement du chien d’assistance judiciaire entre le ministère de la Justice Eric Dupont Moretti, l'association Handi'Chiens, qui forme ces animaux, la fédération France Victimes avec Maryse LE MEN, Présidente, ainsi que la Société Protectrice des Animaux (SPA). La signature s’est faite également en présence de Sabrina BELLUCCI, Directrice de l’Association VIADUQ – France Victimes 67, accompagnée de Orphée, Chien d’assistance judiciaire de Strasbourg, pour lequel l’association est référente.

Depuis 2019 - à Cahors pour commencer -, 10 chiens d’assistance judiciaire accompagnent déjà des victimes mineures dès le début de la procédure, au cours de l'instruction et jusqu'à son aboutissement lors d'un éventuel procès.

4 chiens d’assistance judiciaire ont pour référente une association d’aide aux victimes France Victimes, laquelle l’accompagne au quotidien pour aider les victimes, notamment les enfants, à passer des caps difficiles dans une procédure où libérer la parole, témoigner peut s’avérer compliqué.

L’objectif du ministère de la Justice, formalisé via cette convention-cadre qui s’accompagnera systématiquement de protocoles locaux organisant concrètement l’activité du chien d’assistance judiciaire, est de généraliser son recours, avec 1 chien d’assistance judiciaire par département d’ici 2 ans.


 

La Française des Jeux (FDJ) exploite et commercialise en France les jeux de loterie et de paris sportifs. Elle dispose de 30 000 points de vente répartis sur l’ensemble du territoire, outre-mer compris. 

Déjà impliquée dans l’accompagnement de ses détaillants et salariés victimes avec la mise en place d’aide financière et disposant aussi d’une cellule d’accompagnement pour ceux se trouvant en difficulté en raison de la crise du Covid, la FDJ souhaite compléter son dispositif d’aide. 

Dans ce cadre, la Française des Jeux s’est rapprochée de France Victimes afin d’être accompagnée par une structure spécialisée pour la prise en charge de ses détaillants et salariés. C’est ainsi que la FDJ et France Victimes ont signé une convention de partenariat en janvier 2023. 

Cette convention prévoit une écoute et un accompagnement juridique, psychologique et social des détaillants et salariés de la Française des Jeux, victimes durant leur travail, d’agressions, de cambriolages, d’attaques à main armée et de catastrophes naturelles type incendie. 


Les victimes disposent ainsi d’une ligne téléphonique dédiée à la FDJ, joignable 7j/7 de 9h à 21h.


« Je souhaiterais vous rapporter mon expérience douloureuse, évidemment singulière, afin d’accroître la connaissance, de me nourrir de cette vague d’indignation publique qui me répare peu à peu et d’apporter ma pierre à votre mission afin que les enfants de demain soient mieux protégés que ceux de ma génération ». 

Voici la citation d'une personne victime qui ouvre le rapport de la Ciivise après deux de travail, d'auditions publiques, de recueil de témoignage (21 288 en tout), de consultations d'experts. 

À chaque rencontre de la Ciivise sur le territoire avec le public, les associations France Victimes étaient présentes pour accompagner les suites des prises de paroles, et proposer une écoute, une aide face aux violences, notamment s’agissant de l'accompagnement judiciaire.

Cette semaine, 23 au 25 janvier, la CIIVISE s'est rendue à Fort de France et l'association ADAVIM-France Victimes Martinique a été associées aux rencontres.

Un an après le lancement de l'appel à témoignages de la CIIVISE, le Gouvernement a annoncé mercredi 21 septembre 2022, la mise en place de premières mesures pour : mieux prévenir les violences sexuelles ; mieux repérer les violences sexuelles ; mieux prendre en charge les enfants victimes. 

Par aileurs, en matière de prévention et de repérage, la Secrétaire d'État auprès de la Première ministre, chargée de Enfance, a annoncé la mise en œuvre d'une grande campagne nationale sur les violences sexuelles faites aux enfants (préconisation 20), ainsi que la création d'une cellule de conseil et de soutien pour les professionnels au contact des enfants (préconisation 3). 

En matière d'accompagnement et de prise en charge des enfants victimes Charlotte Caubel a également évoqué la suspension de l'autorité parentale (préconisation 13), le Garde des sceaux a pour sa part annoncé des réflexions sur le retrait de principe de l'exercice de l'autorité parentale en cas de condamnation d'un parent pour violences sexuelles sur son enfant (préconisation 14), ainsi que l'accompagnement de l'enfant, de façon personnalisée et attentionnée, tout au long du processus pénal. La Secrétaire d'État auprès de la Première ministre, chargée de l'Enfance, a également évoqué la prise en charge des soins pour les enfants victimes (préconisation 15) et la meilleure prise en compte de l'intimité corporelle des enfants par les professionnels (préconisation 17). 

Elle s'est également engagée au déploiement sur l'ensemble du territoire national des unités d'accueil et d'écoute pédiatriques (UAPED, préconisation 7).

Lire le rapport et les chantiers à venir de la Ciivise.


Les autorités judiciaires de Nîmes et notamment Madame la Présidente du Tribunal Judiciaire, Béatrice Almendros, ont sollicité une présentation complète de Mémo de Vie, cette plateforme numérique gratuite, personnelle et sécurisée, qui permet aux personnes victimes et à leurs proches de documenter des faits de violences et d'être accompagnées pour en sortir. Cet outil facilite grandement le travail de tous les professionnels du droit, de la santé et du social. 

Le public invité est diversifié : magistrats, policiers, avocats, chargés de mission spécialisés en violences intrafamiliales, médecins légistes, CIDFF, Réseau Santé Vie Sociale et Réseau Santé Jeunes, associations spécialisées en violences faites aux femmes, CDAD...

Avec une présentation dynamique et interactive, ce type de présentation est un excellent moyen non seulement de faire connaître la plateforme Mémo de Vie et aussi de créer une synergie entre les professionnels qui œuvrent autour des personnes victimes, que celles-ci en aient déjà conscience ou qu'elles soient aidées par Mémo de Vie pour prendre du recul et se rendre compte que les situations vécues sont du harcèlement, des discriminations, des violences...

Gageons que cet exemple fera des émules dans d'autres juridictions !


A eu lieu le 20 décembre la visite du Garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, de la Première Dame Brigitte Macron et de Charlotte Caubel, Secrétaire d'État chargée de l'Enfance, dans le Tribunal judiciaire d’Orléans pour discuter de l’avenir des chiens d’assistance judiciaire (CAJ) pour aider les victimes mineures. France Victimes était représentée lors de ces échanges par la Présidente de la Fédération, Maryse Le Men Régnier, son porte-parole Jérôme Moreau et évidemment l’association France Victimes locale, AVL-France Victimes 45 déjà dotée d'un chien d'assistance judicaire.

Déjà déployés dans le département et mis en avant lors des procès, particulièrement dans le procès Millas avec Ouchi, a été discutée la signature d’une convention nationale entre le Ministère de la Justice, l'association Handi'Chiens, qui forme ces animaux, la fédération France Victimes, comme hébergeur et interlocuteur naturel des autorités judiciaires dans ce cadre, ainsi que la Société protectrice des animaux (SPA), à laquelle il sera fait appel avec ses bénévoles en cas de difficultés d'hébergement.

L’objectif de cette convention est de doter d'un chien d'assistance judiciaire chaque département, pour qu’il puisse accompagner une victime mineure dès le début de la procédure, au cours de l'instruction et jusqu'à son aboutissement un lors d'un éventuel procès. Ils seront présents dès les Unités d’Accueil Pédiatriques Enfants en Danger (UAPED).

Pour rappel, les CAJ sont des chiens qui ont été formés pour ressentir les émotions des personnes et les soutenir quand elles en ont besoin. Ils peuvent être considérés comme un "outil" supplémentaire pour aider à libérer la parole et rassurer les victimes. Les chiens d'assistance judiciaire pourront s'adresser à toutes les personnes victimes, même des adultes, mais un travail sur les textes devra être effectué en ce sens. 

Pour en savoir plus, voici deux articles complémentaires : 

Par ailleurs, en cette occasion, l'expographie Mots et Maux de Femmes a également été présentée.


Après avoir envoyé une première lettre d’intention en avril 2022, Mémo de Vie a retenu l’attention des partenaires de la Fondation Afnic. L’équipe projet, soutenue par ses mentors de  Make.org Foundation (partenaire depuis la création du projet), a pu s’engager pleinement dans le circuit de sélection dont l’étape finale et l'objectif premier étaient de convaincre le comité exécutif d’allouer au projet Mémo de Vie une subvention pour continuer de diffuser l’outil et de l’améliorer pour aider d’ici 2025, 21 000 victimes de violences. 

S’est alors enchainée la remise d’un dossier complet, présentant le contexte, les objectifs, la stratégie sur 3 ans, l’équipe et les partenaires actuels et potentiels, ainsi que les bilans. Ce dossier était la base du pitch effectué devant le comité de sélection en juin 2022. 

Ces deux étapes validées, l’équipe Mémo de Vie a ensuite été accompagnée par deux interlocuteurs de la Fondation Afnic pour finaliser le dossier. 

C'est en ce début de mois de décembre que le comité exécutif a rendu son verdict désignant Mémo de Vie, lauréat de l’Appel à manifestation d'intérêts de la Fondation Afnic pour la solidarité numérique. 

Qu’est-ce que la Fondation Afnic va apporter au projet ? 

  • Les partenaires du projet vont continuer d’apporter leur expertise sur la stratégie et son développement. Ils seront des interlocuteurs privilégiés, complémentaires aux ressources internes de l’équipe.
  • Un budget total de 150 000€ est alloué au projet et correspondra aux différentes étapes de la stratégie mise en place et des objectifs à atteindre.  

Ainsi, avec ces deux formes de soutien la Fédération s’engage sur 3 axes d’évolutions (développement technique / le pilotage/ la communication) pour atteindre en 3 ans, un total de 21 000 utilisateurs, 94 000 visiteurs, plus de 7 600 comptes dont 2200 comptes actifs par année et pour continuer à former un maximum de professionnels à la prescription de l’outil.